Jour 1

Chira - Biyabari

Cote de départ : 2550 m

Cote d’arrivée : 3000 m

- 0  m +  460 m

Distance : 6 km

Temps de progression : 3 à 4 heures

 

Sortir de Chirah en suivant le chemin qui remonte la vallée principale. Plus loin on devine le sentier qui remonte à flanc de falaise, le laisser et prendre à gauche. Un pont traverse la rivière. Un peu plus loin, un sentier remonte sur la partie terminale du glacier Hirnache. La suite est agréable. Le sentier traverse une zone habitée où vous serez immanquablement invité à prendre un thé. Il remonte ensuite le long du talweg d’un vallon jusqu’à Biyabari, une belle cuvette à coté de cabanes de bergers.

 

 
Eau : Juste avant Biyabari, un cours d'eau, trouble !
nanga parbat
Jour 2

Biyabari – Hirnache Haraï

Cote de départ : 3000 m

Cote d’arrivée : 4000 m

- ?  m +  1000 ? m

Distance : 12 ? km

Temps de progression : 8 à 11 heures

 

Remonter le long de la moraine latérale, la marche est agréable sous une forêt de résineux. La vue sur les flancs sud du Rakaposhi est impressionnante. Après une heure vous passez à Diran, une hutte en ruine qui précède la traversée d’une rivière. Ce passage est très exposé, les parois de congloméras sont instables. La suite est aride, le chemin peu évident. Continuer 2 à 3 heures jusqu’à l’entrée sur le glacier. La traversée est dure. Hirnache est juste en face, dominé par le Diran et le Rakaposhi.

Eau : Les habitants de Chirah m'on affirmé qu'il y avait de l'eau à Hirnache.
Jour 3 & 4

Cote de départ :  4000 m

Cote d’arrivée :  2550 m

-1460 + ?

Distance: 18 km

Temps de progression : 2 jours

Refaire le chemin en sens inverse

Les treks qui sont décris dans cette rubrique ont tous été parcourus par l'auteur, les itinéraires y sont détaillés journalièrement, des cartes et photos les accompagnent. En aucun cas ces fiches, ne remplaceront l'expérience d'un guide local, elles sont un complément et doivent être prises comme tel. Ne partez surtout pas seul, sans avertir qui que ce soit ! Le tracé de certains sentiers peut changer d'une année sur l'autre, les glissements de terrains, coulées de boue étant suffisamment nombreux.